Biographie

« L’homme mérite qu’il se soucie de lui-même car il porte dans son âme les germes de son devenir. »

Carl Gustav Yung

Biographie

 

Très tôt, alors qu’il n’était qu’adolescent, Sébastien Sgarbi se passionnait déjà à communiquer son savoir-faire aux autres, en tant qu’initiateur en natation.

En 1996, il débuta dans la vie professionnelle comme cuisinier polyvalent au Centre Hospitalier Universitaire Saint-Pierre de Bruxelles. Il y apprit à travailler en équipe afin d’assurer au mieux les quelques 1800 repas à desservir chaque jour aux patients hospitalisés.

Trois ans plus tard, il reprit le chemin de l’école afin de suivre une formation de « Manager » dans le domaine de l’hygiène alimentaire. A l’issue de cet apprentissage, il reçut plusieurs propositions d’emploi de la part de sociétés privées, spécialisées dans les services de la restauration.

Il travailla pour l’une d’entre-elles en tant que « Chef d’équipe et responsable de l’assurance qualité H.A.C.C.P. ».

Rapidement, il prit goût à l’accompagnement des membres de son équipe dans leurs tâches quotidiennes. Il avait vite compris qu’il valait mieux montrer l’exemple en accompagnant les personnes dans leur travail, plutôt que d’imposer des ordres, en usant d’une autorité oppressante pour elles. Il put donc réussir là où auparavant des chefs, pourtant plus âgés que lui, avaient échoué dans la même fonction. Six mois plus tard, il fut placé sur un autre site de travail, au poste d’ « Assistant Manager », avec de nombreuses responsabilités.

 

Par ailleurs, plus il avait de personnel à gérer, plus il prenait plaisir à apprendre au niveau de la dimension interpersonnelle. En vue de donner le meilleur de lui-même en tant que responsable, il décida de reprendre des études, à horaires décalés, en psychopédagogie. Ce fut pour lui une véritable révélation.

Conscient de ses atouts en relations humaines, il n’hésita pas à postuler dans différentes écoles afin de pouvoir vivre une nouvelle expérience, qui ne pouvait qu’être profitable pour son évolution.

En 2002, une page de son histoire se tourna, quand il accepta un poste d’éducateur à l’Institut Saint-Louis de Bruxelles, école à discrimination positive. Pour l’anecdote, il s’agit de l’école où Jacques Brel avait fait ses classes.

Son rôle était d’encadrer et d’accompagner les jeunes dans leur parcours scolaire, tout en les aidant dans leurs difficultés. Après avoir pris ses marques, il sut trouver les moyens nécessaires pour aider ces jeunes à donner un sens à leur apprentissage. Toutefois, il n’y avait pas que les élèves qui évoluaient sur ce merveilleux chemin de croissance, Sébastien Sgarbi, lui aussi, gagnait en expériences, de par les riches échanges qu’il entretenait avec eux.

C’est à ce moment précis de sa vie qu’il fit la rencontre bouleversante de Thomas d’Ansembourg. Jamais il n’avait encore rencontré de personne habitée d’une telle présence. Surtout, dans la capacité à poser sur l’autre un regard de profond respect et de sagesse. Il lui a appris à regarder les autres autrement, avec des yeux posés sur ce qu’ils sont capables de faire et d’être, au lieu de se focaliser sur ce qui n’allait pas. Cette manière de regarder les autres lui donna l’envie d’essayer de gagner davantage en humanité afin que, lui aussi, puisse être capable d’aider ceux qui trébuchent sur les pierres d’achoppement. Thomas d’Ansembourg le forma également à la Communication Non Violente selon le processus de l’américain Marshal Rosenberg, ainsi qu’à la gestion de conflits.

Fort de ce bel exemple de vie, Sébastien Sgarbi décida à nouveau de reprendre des études, cette fois, en sciences religieuses. Là encore, il put en quelque sorte étancher sa soif de questions, auxquelles son entourage ne pouvait répondre en profondeur.

En 2006, il débuta une autre carrière en tant qu’enseignant à l’Institut Saint-Joseph de Ciney.

Passionné par les pensées et les croyances en tout genre, il développa de nouveaux outils, dans le but d’aider au mieux les élèves qui lui étaient confiés, dans le cadre de son cours.

Il avait enfin trouvé un Univers taillé sur mesure, qui lui correspondait pleinement. Il n’hésita donc pas à se former à d’autres techniques thérapeutiques.

En 2010, à la suite d’une grave maladie, sa vie fut complètement retournée. Sauvé de justesse de la mort qui se profilait à l’horizon, il prit conscience qu’il était important de savourer pleinement chaque expérience de la vie, et ce, dans une optique d’échange.

Dès lors, toutes ses expériences, ses pensées, ses démarches visant à améliorer la qualité de vie des gens, ne pouvaient plus rester au placard. Il prit alors sa plume et commença à rédiger un premier ouvrage destiné à aider les personnes en souffrance, dans leur développement personnel. Il intitula cet ouvrage: « Forts de nos richesses ».

Selon lui : « la connaissance de soi est une arme redoutable face aux aléas de la vie. Elle est aussi indispensable à l’évolution spirituelle de l’ « Être ».

Sans vouloir tomber dans l’utopie, il ose espérer en un monde meilleur, en commençant tout d’abord par la maîtrise de soi, tout en donnant un sens profond à la vie.

Aujourd’hui, Sébastien Sgarbi, continue à chercher et à expérimenter des techniques, afin d’aider au mieux toute personne qui souhaiterait évoluer tant sur le plan personnel que spirituel. D’ailleurs, d’autres projets d’écriture sont en préparation, afin d’offrir des outils efficaces au développement de l’ « Être » dans sa globalité.

Il habite en Belgique avec sa charmante épouse et leurs deux enfants, dans une modeste maison à la campagne, où il tente de jongler, de la manière la plus habile, entre ses responsabilités professionnelles et familiales.